Si pour les syndicalistes, les revendications des enseignants donnent la légitimité à ce mouvement de grève qui devrait se poursuivre jusqu’à la satisfaction des préalables, le bureau diocésain de communication et la commission Justice et Paix a appelé les différentes composantes à respecter le principe de pluralité des régimes scolaires et laisser les écoles privées reprendre leurs activités.
Le constat est que ce ne sons pas les élèves qui sont en grève, mais les enseignants. Pour ce, les élèves sont en droit de réclamer que les activités scolaires reprennent sans désemparer. Leur place étant, pour ce moment, à l’école et non à la maison.
Le complexe scolaire José Moko lui a bel et bel et bien repris les enseignements.
Diocid!